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Cap sur 2030 : la certification tierce partie, la clé de la crédibilité

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B.I.G. est en bonne voie pour atteindre une empreinte environnementale nulle d’ici 2030. Oui, destination zéro, vous avez bien lu. Pour rendre cette épopée plus tangible, nous vous proposons d’embarquer à nos côtés dans un voyage au fil duquel vous découvrirez nos divers projets de développement durable. Dans cette édition : un florilège de nos labels et certificats de durabilité.

Ces dernières années, le marché est devenu de plus en plus concurrentiel. Pour pouvoir se démarquer véritablement en tant qu’entreprise, la reconnaissance d’une tierce partie est cruciale. Les labels et certificats apportent à la fois crédibilité et assurance d’une qualité exceptionnelle pour nos clients. Même si leur obtention demande des efforts supplémentaires, ils restent le meilleur moyen de montrer au monde que nous plaçons la barre haut et — ce qui est peut-être plus important en matière de durabilité — que nous faisons de notre mieux pour la maintenir.

ISO 14001

« Tout d’abord, 11 de nos 27 sites de production sont certifiés ISO 14001 », explique Lieven Flamée, Directeur QHSE. « Cette accréditation du Bureau Veritas signifie que nous avons amélioré et maintenu nos performances environnementales et que nous avons réduit l’impact de nos activités sur l’environnement. Cela nous encourage à optimiser continuellement nos opérations. L’ambition SSE de B.I.G. est que toutes nos usines installent un système de gestion conforme aux normes ISO 14001 et ISO 45001 d’ici fin 2024. »

EcoVadis

« Pour quantifier davantage nos efforts, nous utilisons EcoVadis », explique Bruno D’Argent, Spécialiste de la durabilité des produits. « Basé sur 4 piliers – environnement, travail, droits de l’homme et éthique – cet outil d’évaluation identifie à la fois nos forces et nos faiblesses et nous attribue une note sur 100. La liste des questions posées nous sert de source d’inspiration pour agir et nous améliorer. En même temps, l’outil compare nos progrès à ceux de nos concurrents, ce qui nous donne une bonne idée d’où on se situe.

Charte Voka pour l’entrepreneuriat durable

« Six des sites de production de textiles techniques, de fils ou de fibres de notre groupe en Belgique, en France et en Italie ont été reconnus pour leurs efforts par Voka, les Chambres de commerce flamandes », poursuit Lieven. « En prenant comme point de départ les 17 objectifs de développement durable (ODD) de l’ONU, nous avons formulé, avec Voka, un plan d’action pour chaque division qui comprenait, entre autres, l’installation de panneaux solaires et l’ajout de plantes sur nos sites pour les rendre plus verts. »

« Les plans d’action sont évalués chaque année par un comité d’évaluation externe. À la suite d’une évaluation positive, les sites ont reçu la Charte Voka pour l’entrepreneuriat durable. Qui plus est, nous avons reçu une évaluation positive trois années de suite, nous permettant de recevoir également un certificat SDG Pioneer de l’Institut des Nations unies pour la formation et la recherche (UNITAR) – ce qui représente un autre jalon important dans notre voyage Cap sur 2030. »

Certification tierce partie : une histoire sans fin

« Des labels d’air pur comme l’IACG, des certificats d’approvisionnement en bois responsable comme PEFC, des programmes comme Operation Clean Sweep, la certification GRS pour les fils à contenu recyclé, la certification REDcert2 pour les fils à contenu équilibré en biomasse, et la certification Cradle to Cradle Silver pour Rewind... Il existe d’innombrables façons de faire reconnaître nos efforts et de montrer que nous sommes sur la bonne voie. Il s’agit d’identifier les bonnes, celles qui prouvent que nous allions les actes à la parole, que nous répondons à toutes les exigences et que nous continuons à performer en matière de durabilité. »

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